arrivée du beau ténébreu Aoi XD

Pensionnaires Nombre de messages : 214 Age : 35 Date d'inscription : 21/04/2007

Cette nuit la, l'orage arrivé a grand pas, les nuages grondaient déjà, annoncent l'arrivé des éclairs, il pleuvait dru et Aoi marchait sous la pluie depuis une bonne vingtaine de minute. Il était frigorifié, ne s'attendant pas a ce genre de temps, il était peu couvert et ne voulait pas ouvrir ses valises.
Il n'avait pas eut de quoi payer le taxi jusqu'a l'orphelina, et il c'était promit de ne pas voler pour vivre. Même si on considère le vol comme un acte de charité forcé pour le voler...et de ne pas, par la même occasion "s'amuser" sur son passage

bref, il voyait l'Orphelinat s'élevé a l'horizon, un sorte de soulagement l'envahie, il n'était pas dans l'un de ses bons jours, mais faisait tout pour éviter la dépression... en plus, s’il était accueillit par quelqu'un de sympa et qu'il se montrait infecte, il avait un peu peur d'être jeté dehors...

Il arriva enfin devant la porte, hésitant un peu a l'ouvrir l'observant comme une délivrance attendue depuis bien longtemps, il avait devant lui comme le début d'un rêve...

La seule chose qu'il l'inquiétait était ses pulsions...

Il poussa enfin la porte et arriva dans le hall, il soupira un instant, il était trempé est exténué, il posa ses valises a terre, attendant que quelqu'un vienne, il pensa ironiquement:

*joyeux anniversaire, Aoi...*

Le hall était vide, complêtement déserté. Exténué, il préféra se poser sur les marches d'un escalier.
La lumière ne filtrait que très peu au travers des fenêtres aux vitreaux.

Il engagea sa main dans sa poche et en sortit un paquet de cigarettes et un briquet

Aoi : "pfff j'en est plus beaucoup, j'èspère qu'on peu en achetr dans l'coin..."

après l'avoir tranquilement alumée, il ce redressa et abandonna ses valises pour un ptit tour sur le pavillon, puis, quand il sentit ses forces l'abandonné, il y retourna, s'allongea, la tête sur ses valises et finit par s'endormir...

Le bus qui déposa la jeune fille et sa valise repartit à une vitesse telle, que la flaque qui stagnait devant l’arrêt perdit beaucoup de son eau…

Après avoir claqué la porte de la maison, Fleur ne savait pas trop où aller. Elle se balada pendant plusieurs jours dans la ville, logeant à l’hôtel. En partant, elle avait eu l’intelligence de vider la carte bleue de sa mère. Histoire de laisser un adorable souvenir à ses géniteurs.
Bref, elle vit une annonce d’un certain orphelinat, éloigné de la ville et se mit en tête de s’y rendre.

Elle se renseigna sur les diverses façons d’y aller. Le taxi était sa préférée, mais, sans trop savoir pourquoi, elle ne la retint pas. Elle opta pour le bus, moins confortable, plus inquiétant. Il ne faut pas chercher à comprendre, c’était sa décision.

Donc, elle prit le bus, en début d’après-midi. Lors du trajet, il plu, et la jeune fille se demanda quel temps il ferait quand elle arriverait. Si elle arrivait un jour du moins… Trois heures passèrent et enfin, le car s’arrêta, pratiquement en même temps que la pluie d’ailleurs.

Donc nous en étions là. A l’arrêt du but.

Fleur traîna sa valise derrière elle pendant une bonne demie heure, avant de discerner le bâtiment perdu dans une multitude d’ardre.

La nuit tombait et le chemin n’était pas éclairé. Super… Une chance qu’il fallait aller tout droit. La demoiselle distingua une lueur sur le bas de la façade, comme si quelqu’un ouvrait une porte. Une personne entra. Du coup, elle supposa que c’était ce qu’elle devait faire.
Enfin, quand elle arriva devant cette fameuse porte, Fleur l’ouvrit et entra.

Bon, nous allons passer rapidement sur la déco. Sobre, propre, moderne. Il était visible que le bâtiment fut récemment modernisé. Un regard autour d’elle apprit que le hall était vide. Sauf là où il avait plusieurs sièges et bancs. Un gars dormait. Et vu son accoutrement, et son sac à côté, il était nouveau aussi, et avait prit une bonne douche dehors. Sans bruit, Fleur se rapprocha, laissant sa valise en plein milieu de l’entrée. Elle se pencha sur lui, laissant ses cheveux pendrent dans le vide, au dessus du visage du jeune homme.

* Hum… pas mal *

« Euh… Excuse-moi…
Allo ? On se réveille… »

Sa voix se fit mielleuse, comme pour le réveiller en douceur. En fait, la seule personne qui connaissait cette voix était sa petite sœur. Quand on change de vie, autant changer de comportement, non ?

Pensionnaires Nombre de messages : 214 Age : 35 Date d'inscription : 21/04/2007

pendant son sommeil, Aoi passa en revue divers entretients qu'il avait eu a son bahut, dans la salle des profs où il ce faisait discriminer, insulter pour son comportement.

Il revit aussi la foie ou il s'était introduit dans la maison de son professeur et où il avaient une une relation, plusque chaude, et cette relation qui dura longtemp.
bien qu'il savait qu'il l'aimait au fond de lui, a cette periode, il ne pouvait pas s'empêcher de le faire souffrir, en batifollant a droite a gouche, sous le regard désespéré de celui-ci qui n'avais pas le droit d'intervenir, faute de découvrir cette relation.

Oui...Aoi repassa en tête beaucoup d'évènement, plus ou moin gaies, et petit à petit, dans son sommeil, ses yeux se plissaient.

A un certain moment, il crue entendre dans son sommeil, le bruit de la porte d'entrée, grinçante, s'ouvrant puis claquant; les bruits de pas légers et discret sur les dalles, s'approchant de son corps endormis lorqu'une voix le tira de son cauchemard.

Il ce réveilla en sursaut et apperçut la jeune fille, sans le savoir, des larmes se mirent à couler. Elle était apparût comme une sauveuse a ses yeux, l'ange qui le tirait de l'enfert où il était.

il la regarda longement, de la tête aux pieds, en un sourire le plus gentil qui soit puis finit par décrocher deux mots.

Aoi : "euh...enchanté"

« … De même. »

Bon, le bon point, c’était qu’il était réveillé. Le mauvais, c’était qu’il déprimait. Fleur se redressa lentement, gardant des yeux le jeune homme. Elle ne savait pas si elle pouvait le questionner par rapport à son état ou tout simplement compatir. Pour trancher les deux, elle utilisa l’expression qui marche à tous les coups : le scepticisme.

Elle fouilla dans sa poche et sortit un paquet de mouchoir. Elle le tendit à l’inconnu avec un sourire encourageant. Avec un peu de chance, ceci l’aiderait à aller mieux. N’ayant pas l’humeur à être une peste, Fleur opta pour le comportement angélique. Histoire de changer totalement les habitudes. De plus, si ce garçon était sa seule connaissance de ce nouveau lieu, autant ne pas se le mettre à dos.

En fait, malgré elle, la demoiselle tirait toujours le meilleur parti de la situation pour elle. Cela dit, il était bon de temps en temps de penser aux autres. Comme par exemple à Clara… Bref. Quand le garçon la regarda avec un magnifique sourire, Fleur sentit une impression étrange, et totalement inhabituelle. Elle préféra ne plus y songer alors qu’elle répondait à ce sourire.

« J’imagine que tu n’as rencontré personne ici…
Au quel cas, tu ne serais sans doute pas en train de dormir sur une banquette. »

La brunette balada son regard autour d’eux, comme à son entrée. Il n’y avait toujours personne. Le hall était beaucoup trop grand pour deux adolescents. Et cette impression de ‘petite fille’ ne rassura pas la demoiselle. Comme une chenille dans un nid d’oiseau. Qui pouvait affirmer ce qui allait leur arriver ? Bon, on arrête là la paranoïa et on continu dans l’histoire V.V.

Donc, Fleur tourna légèrement le dos au garçon sans nom, cherchant un quelconque plan des yeux ou n’importe quoi qui l’aiderait à trouver son chemin ou de l’aide dans l’orphelinat. Elle hésita à laisser là le jeune homme pour voir un peu mieux les coins et recoins mais finalement, ne bougea pas d’un pouce.

« Tu crois qu’il y a des vivants, ici ? »

Peut-être qu’elle se sentait toute petite dans cette immense pièce, Fleur aimait beaucoup dépasser l’inconnu qui était toujours sur la banquette. Elle savait que cette appréciation ne durera pas longtemps et donc, garda cet esprit de fierté que très peu de temps. Elle le regarda toujours avec ces même yeux, doux et chaleureux, comme pour expliquer qu’elle ne lui ferait pas de mal.

Shoji avait enfilé a la hâte un jean et un t-shirt rose qui s’accordait avec ses cheveux, avec un super dessin de panda au milieu, la tenue typique enfantine…Nan mais bon personne lui avait appris a s’habiller en adulte non plus et tant qu’on peut faire simple il allait pas se compliquer la vie, de plus il n’avait pas d’argent pour s’acheter de nouveau vêtement et comme ceux de ses 15 ans lui allait encore, peut être même qu’ils dataient d’avant ses 15 ans y réfléchissant bien… Il était excité comme une puce aller savoir pourquoi, monsieur avait juste envie de voir comment avait évoluer le jardin depuis la veille ! Non c’était pas pour sa, c’est juste que un de ses patrons l’avaient chargé d’accueillir un nouveau pensionnaire, en vérité il ne savait pas qui ni combien ni rien…mais il voulait vraiment faire un accueil digne et être avant celui qui arriverait. Dans sa grande maladresse il trébucha en haut des escalier et descendit donc en dévalant et roulant les marches pour atterrir a plat ventre dans le hall !

Légèrement déboussolé et le dos endoloris en fait tout le corps endoloris, il resta au sol pendant un long instant, sans se rendre compte qu’il y avait là deux personne dans le hall, et que en aucun cas il n’était en avance, peut être avait il mal compris l’heure...mais comme on lui avait dit sa au détour d’un couloir la veille, entre deux portes qui claquent…. Dans la peur qu’il venait d’avoir instinctivement il avait fermé les yeux comme pour se protéger ce qui était débile en y réfléchissant…Les yeux toujours fermé et allongé par terre, il eut de nouveau peur de pas réussir ce qu’on lui avait demandé…s’occuper des fleurs était une chose mais de personne s’en était une autre…déjà qu’on le prenait continuellement pour un adolescent enfin bon…Peut être que la première chose a faire s’était de se relever, oui c’est sa se relever. Il ouvrit un œil, et se redressa lentement se tâtant le corps pour être sur qu’il n’avait rien de casser. Comme tout avait l’air d’aller bien ses yeux firent enfin le tour du hall !

Il remarqua enfin qu’ils n’étaient pas seul…oh mais c’était pas une mais deux personnes !! C’était prévu sa ? Il n’en savait rien, était ce normal que devait il faire ? Leur montrer les chambres oui c’était sa qu’avait dit le patron avec un clin d’œil. Shoji n’avait pas compris l’allusion bien sûr, il n’avait pas les idées mal placé lui ou peut être avait il encore un esprit innocent bien qu’il est déjà connu l’amour grâce a son frère…comme il lui manquait, le reverrait il un jour ? Oui sinon il n’aurait plus rien en quoi se raccrocher et sa l’aurait tué. Il s’approcha de la fille et du gars, avec un sourire crispé quand même gêné qu’ils aient assisté a sa chute.

« Bonjours… »

Il baissa sa tête cachant ses grands yeux bleus derrière des mèches roses, se sentant rougir ! Il ne savait tout simplement pas quoi dire…si les chambres, c’était le stress qui devait lui faire perdre tous ses moyens a tous les coup !

*Respire Shoji ils ne vont pas te manger…pour une fois qu’on te donne une mission, montre que tu as 19 ans et pas 5*

« Je dois vous...vous...vous accompagner a…a….vos chambre »

Voilà qu’il bégayait le pauvre, il n’était vraiment pas a l’aise, pas sur son terrain comme qui dirait !

Un bruit sourd résonna dans l’immense pièce. Fleur se retourna, à moitié surprise et inquiète. Un corps de jeune homme, aux cheveux… roses était étalé devant l’escalier qui, sans aucun doute, ne l’avait pas épargné.

* Les marches sont dangereuses ici… *

Apparemment, il n’avait pas trop mal puisqu’il se releva et s’avança vers les deux adolescents. La jeune fille se demanda quel âge il pouvait avoir. En effet, le garçon possédait bien un corps d’adulte, mais son expression restait très enfantine. La brunette le détailla assez bizarrement. Elle ne croisait pas souvent ce genre de ‘spécimen’ (pas taper >_<), et ne comprenait donc pas comment un aussi bel homme pouvait s’habiller et se mouvoir avec une habitude aussi gamine.
Mais par force de bienséance, elle redirigea son regard vers les yeux du nouveau venu après avoir jeté un coup d’œil à son camarade, toujours sur sa banquette. Celui-ci n’avait pas répondu à sa question, mais, finalement, la réponse lui importait peu à présent. Elle reconnut intérieurement qu’elle venait juste d’arriver et qu’elle ne connaissait pas du tout le garçon brun.

Quand le celui aux cheveux roses leur proposa de les amener à leurs chambres, Fleur se demanda pourquoi il bégayait. N’était-ce pas son travail d’accueillir les nouveaux arrivants ? A moins que les deux adolescents l’effraient… Ce fut ce qui la convint de poser un autre regard sur le garçon assit. Non, il ne faisait pas trop peur. Alors elle vérifia sa propre tenue. Parfaite, comme d’habitude. D’accord, elle en conclut donc qu’il ne fréquentait pas quotidiennement des jeunes (du moins plus jeune que lui..).

« Bah… Euh..
Pourquoi pas.
Vous êtes le concierge ? »

Bon ok, la brunette manquait légèrement de tact. Mais au moins tout le monde connaissait ses pensées U.U. De plus, la réponse semblait évidente grâce à la tenue vestimentaire du jeune homme. Les concierges étaient toujours (très) vieux et mal habillés. Donc, encore une fois, Fleur détailla des pieds à la tête, le pauvre garçon aux cheveux roses.